Quand on est romancier, rien ne vaut le retour du public. C’est pourquoi, je vous livre ci-dessous les avis que des lecteurs ont eu la gentillesse de m’envoyer ou que j’ai collectés sur les blogs, librairies en ligne ou la presse :

AVIS DE LA PRESSE

« Un thriller trépidant »

France 3 Bretagne 

« On est parfois méfiant en ouvrant un premier roman, celui de Lionel Camy rassure bien vite »

Tout prévoir

« Un thriller haletant à l’écriture incisive »

Ouest France 35

« Une atmosphère de cauchemar rendue avec force »

Ouest France 22

AVIS DU NET

Un thriller trépidant (France 3 Bretagne)

C’est l’histoire d’un thriller dont l’action se déroule en mer, un endroit improbable au large de la Thaïlande, dont le héros est un type largué, tendance ado attardé, et dont le style est rock, un peu démodé. Un livre signé Lionel Camy. Une chronique d’Aline Mortamet

Lionel Camy, l’auteur de Passager vers l’enfer est un fan de Midnight Express (ce film d’Alan Parker sorti en 1978, l’histoire d’un jeune touriste américain qui se retrouve en prison car les douaniers ont trouvé quelques grammes de haschich sur lui). C’est annoncé très tôt dans le récit, et la connotation est présente tout au long de l’intrigue.

Le scénario se présentera pour l’essentiel sous forme d’un huis clos, à bord d’une ancienne plateforme pétrolière désaffectée. Loin des côtes thaïlandaises, mais que l’on devine non signalée sur les cartes. Suite à un naufrage, ils se retrouvent à huit hébergés sur cet abri de fortune, mais l’ambiance va tourner au cauchemar. Façon 10 Petits nègres (Agatha Christie), les compagnons de route vont mourir les uns après les autres, et souvent dans des conditions atroces. A commencer par le premier cadavre, un jeune bonze qui tombe raide mort suite à une morsure de cuboméduse. Le héros, un Français trentenaire un peu déprimé par la vie et qui est venu en Thaïlande juste pour oublier ses ennuis, mènera l’enquête pour tenter de comprendre, et cela le mènera très loin.

L’histoire démarre un peu lentement, mais elle devient progressivement plus vive et plus mordante. En revanche, le style reste délibérément très adolescent sur toute la longueur du roman. On entend le Renaud des 1970’ quand on décrit des cloisons « minces comme une tranche de jambon dans un sandwich SNCF ». Ou bien quand on entend l’ambiance de ces « copains zicos qui répétaient dans des studios de rock ».

Au final, on est dans un thriller plus trépidant (surtout en deuxième partie) que littéraire. Et c’est un premier roman, signé Lionel Camy, un jeune auteur de l’ouest de la France, qui avait jusqu’alors plutôt écrit dans le registre scénario de films.

Lien vers la chronique sur le site de France 3 Bretagne :http://bretagne.france3.fr/emissions/littoral-le-magazine-des-gens-de-mer/actu/passager-vers-l-enfer.html-0

Un premier essai très prometteur

Premier roman de Lionel Camy, Passager vers l’enfer est avant tout une réussite stylistique. Le texte restitue avec brio l’atmosphère générale d’un cauchemar, rendu avec force. Car c’est bien d’un cauchemar qu’il s’agit. Un cauchemar à plusieurs sens. Tout d’abord, d’un point de vue de l’intrigue : Eliot part en vacances sur une île perdue au large de la Thaïlande, mais le bateau qui l’emmène avec quelques autres passagers coule, et les survivants trouvent refuge sur une plate-forme pétrolière abandonnée. Comment survivre sans eau et sans nourriture ? Les profondeurs de la plate-forme abritent-elles des formes de vie mêmes étranges ? L’horreur n’est jamais loin, et le tout est raconté entre réalisme et rapidité, comme cela se passe dans un cauchemar. Mais c’est aussi un cauchemar dans le sens où le roman malgré sa dénomination de thriller lorgne également (et de bonne façon) du côté du fantastique : Eliot vit-il réellement ce qu’il raconte ? Est-il déjà en enfer ? Au milieu du roman, le texte survivaliste bascule dans un rappel des mythes thaïlandais et des possibilités de devenir un esprit maléfique, un pur sorcier, tout en restant d’une logique implacable, ouvrant des pistes d’un court trait de plume. Eliot, lorsqu’il peut quitter la plate-forme, téléphone à sa mère et lui laisse un message sur son répondeur. Quelques chapitres plus loin, un court passage évoque une vieille dame qui regarde son répondeur vide, puis la photo de son fils alors enfant. De nombreuses questions défilent en masse : est-ce Eliot ? Est-il mort enfant ? A-t-elle reçu un message annonçant sa mort en Thaïlande ? Tout le roman oscille ainsi, du début à la fin, entre préoccupations éminemment pratiques comme essayer de conserver de l’eau sur une surface vide et soumise au soleil, et angoisses métaphysiques où chacun pourra lire des métaphores sur les aventures. L’ensemble est maîtrisé du début à la fin, de manière très cinématographique pour constituer un premier essai très prometteur.

Lien vers la chronique sur le blog de K-Libre :

http://www.k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=livre&id=3095

Note : ❤ ❤ ❤ ❤

Un excellent roman

Premier roman de Lionel Camy. La lecture est fluide, plaisante et les étapes qui se succèdent ronronnent. L’auteur semble bien connaître la Thaïlande, ce qui se révèle très agréable. On s’immerge bien dans la société Thaï au débarquement d’Eliot dans ce coin du monde. L’environnement, les personnages reclus sur la plateforme sont très bien dessinés ! J’ai bien aimé la Québécoise et son phrasé particulier. Dans ce livre, on apprend l’existence de la guêpe des mers, le climat, pleins de choses que j’ignorais de ce pays… À aucun moment, je n’ai soupiré en lisant. Au contraire ! La scène de l’aéroport est digne des meilleurs polars ! Cela aurait été dommage de lire du Marc Lévy ! En résumé, c’est un excellent roman.

Lien vers la chronique sur le blog de Mickaël Paitel : http://politiquehumanite.blogspot.fr/2013/10/lecture-dun-polar-signe-lionel-camy.html?spref=fb

Se laisse dévorer sans regret

Roman initiatique, roman d’aventures, roman à suspens… il y a un peu de tout ça dans Passager vers l’enfer. L’auteur, dont c’est le premier roman, le construit sur une trame de scénario, ménageant une alternance de situations de plus en plus tendues par le biais d’une découpe incisive des chapitres. L’écriture va au plus court, sans recherche de pose littéraire, avec une grande efficacité.

Le petit poil de fantastique qui se glisse à la fin du roman n’est pas ce qu’il contient de meilleurs. L’épilogue, jouant les mises en abymes, fait boucler l’intrigue de manière un peu trop artificielle.

Néanmoins, avec des personnages crédibles, un héros attachant, et une peinture fort juste de l’européocentrisme des touristes en Asie, si ce Passager vers l’Enfer n’est pas le plus grand des romans noirs de l’année, il se laisse dévorer sans regret et laisse aussi un souvenir étrange, mitigé, vaguement dérangeant. Ce qui est déjà beaucoup.

Il y a de quoi se demander ce que ce nouveau romancier nous servira la prochaine fois… et l’attendre avec curiosité.

Note sur Babelio : ❤ ❤ ❤ ❤

Lien vers la chronique sur le blog de Jeanne Desaubry :

http://jeanne.desaubry.over-blog.com

Un premier roman prometteur qui nous emmène en terre inconnue (Lolly, A&ML)

L’image qui nous vient bien souvent à l’esprit lorsque l’on évoque la Thaïlande est celle d’une destination touristique paradisiaque aux plages de sable blanc et aux lagons turquoise. Eliot Bellay, un trentenaire français employé en télécommunication ne fait pas exception à la règle : il souhaite y passer ses vacances pour se remettre en forme après une étape difficile de sa vie. Pourtant, à peine est-il arrivé à destination que les malheurs s’enchaînent et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Eliot survit à un naufrage et se retrouve sur une plate-forme pétrolière perdue en mer Andaman. Avec sept autres survivants, il se voit obligé de se débrouiller dans ce lieu hostile où les événements étranges se succèdent avec une rapidité déconcertante.

Passager vers l’enfer est un premier roman qui fait de l’effet, et on voit que l’auteur sait de quoi il parle. Tout le monde a déjà entendu parler de la Thaïlande, mais on en connaît généralement surtout les clichés. Quelle désillusion de découvrir un côté plutôt sombre de cette société : de la pollution aux problèmes sociaux en passant par l’inefficacité de la police, l’image décrite n’est pas des plus flatteuses. Pourtant, on se sent happé par ce monde si différent du nôtre, dans lequel on survit comme on peut. Loin de se perdre dans les détails, Lionel Camy nous suggère les traits principaux de l’endroit, nous laissant ensuite le soin d’en faire nos propres déductions.

Rapidement, l’univers du roman se retrouve limité à un seul endroit : la plate-forme pétrolière sur laquelle Eliot a échoué avec ses compagnons de fortune. Un lieu restreint, parfait pour un huis-clos… mais qui se révèle finalement bien plus inquiétant qu’on ne pourrait le penser : des bâtiments désaffectés aux salles de production, tout est sinistre et dangereux. On dirait que la plate-forme est hostile et ne veut pas des naufragés, qui doivent, malgré leurs différences de culture, cohabiter pour survivre.

Les personnages, justement, sont un point central de l’intrigue. Pas facile de cohabiter quand on a des habitudes et des intérêts tout à fait différents. L’auteur nous offre un panorama de cultures très diverses : deux moines thaïs, une océanographe canadienne, un jeune allemand, un footballer albanais, un chef d’entreprise français, un vieil homme japonais et Eliot, qui se retrouvent forcés de cohabiter pour survivre ; la barrière de la langue ne leur facilite pas la tâche. Bien que parfois un peu stéréotypés, les personnages sont intéressants. Certains sont plus développés que d’autres, en fonction des affinités d’Eliot avec eux. Charlène, la scientifique, est un choix particulièrement intéressant car elle permet à l’auteur de donner, de manière fluide et naturelle, des informations utiles sur le milieu dans lequel se déroule l’histoire.

L’intrigue est relativement simple, mais la tension augmente au fil des événements. Tout paraît s’acharner contre les personnages… si bien qu’on en vient à se demander s’il n’y a pas quelque chose de plus que le manque de chance dont ils ont été victimes au début. Bien que les scènes tragiques s’enchaînent parfois un peu trop rapidement à mon goût pour être tout à fait réalistes, on se laisse entraîner par le mystère. 

Ce n’est qu’à la fin qu’une clef nous est livrée… et encore, ce n’est pas une solution absolue, mais plutôt une suggestion qui laisse de nombreux détails inexpliqués. Au lecteur, ensuite, de faire preuve d’imagination pour expliquer le mystère de la plate-forme ! La résolution, mélangeant légendes thaïlandaises, histoires politiques et questions sociales, donne matière à réfléchir… Et, bien qu’il manque quelques contrastes, notamment dans le caractère des personnages, c’est un premier roman prometteur qui nous emmène en terre inconnue. Passager vers l’enfer est un bon roman qui m’a fait passer un moment très agréable… et qui pourrait même donner des cauchemars !

Un thriller innovant (Jacana, A&ML)

Eliot Bellay, un employé en télécommunication d’une trentaine d’années, décide de passer quelques jours en vacances sur Ko Adang, une petite île de Thaïlande, pour se remettre d’un coup dur. Il arrive sans encombre au pays du sourire, mais doit encore traverser un bras de mer pour se rendre sur son îlot paradisiaque. C’est face à cette étendue d’eau que la chance tourne. Il embarque sur un petit rafiot en direction des plages tranquilles de Ko Adang et, l’instant d’après, se retrouve piégé des eaux déchaînées, son embarcation n’ayant pas survécu à une tempête soudaine. Lui et sept autres survivants nagent jusqu’à sur une plateforme pétrolière et parviennent à s’y hisser. Ils ont, certes, survécu à un naufrage, mais le temps n’est pas aux réjouissances : la plateforme est désaffectée et hostile à leur égard. À croire qu’elle ne veut pas d’eux! Et les événements mystérieux qui vont suivre ne vont pas les rassurer…

En lisant la quatrième de couverture, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire : n’est-ce pas le comble du malheur que de survivre à un naufrage pour se retrouver prisonnier du lieu qui aurait pu nous sauver ? Même avant de commencer Passager vers l’enfer, je pouvais imaginer la triste ironie de la situation ! Et ma lecture n’a pas contrarié cette idée, bien au contraire… La plateforme est désespérément vide et les pauvres naufragés ne sont pas plus avancés que lorsqu’ils luttaient contre les flots. D’habitude, quand on me parle d’histoires racontant un naufrage ou un crash aérien, je me figure automatiquement la traditionnelle île déserte et sauvage sur laquelle les rescapés vont tenter de survivre. Quand j’ai découvert ce livre, j’ai donc immédiatement été séduite par ce décor novateur, qui s’avère finalement bien plus hostile qu’une île déserte.

Passager pour l’enfer est donc un incroyable huis-clos, dont l’élément central est le ressenti des naufragés. Les personnages prennent donc une place très importante dans l’histoire. À leur arrivée sur la plateforme, ils sont huit, de différentes nationalités, et rapidement, la barrière de la langue les scinde en petits groupes. La narration se centre sur le personnage d’Eliot et nous pouvons suivre son désarroi et son angoisse face aux événements mystérieux qui vont surprendre les rescapés. Très vite, les premiers morts sont à déplorer et nous partageons l’impuissance et l’incompréhension du jeune homme. Les questions se bousculent dans sa tête et nous avons un aperçu sur ses différentes suppositions, toutes plus folles les unes que les autres ! Pourtant, il le sait bien, ces morts ne sont pas innocentes, mais il ne sait pas qui ou quoi aurait pu les provoquer.

En ce qui concerne l’écriture de Passager vers l’enfer, je dirais qu’elle n’oppose pas de difficultés particulières et se lit rapidement : les actions s’enchaînent à un rythme effréné et le lecteur, impatient de découvrir la vérité, finit par ne plus lâcher le livre. Par contre, lors de certains passages descriptifs, notamment lors des premiers chapitres, je trouve qu’il y a un peu trop de détails pour un même élément, ce qui donne naissance à des phrases un peu trop chargées. De plus, certaines combinaisons de mots me semblent étranges et un peu lourdes également. « Sa maîtresse prit son téléphone portable sur l’îlot central en acier chromé et inspecta l’écran digital […] et se servit une tasse de nectar noir. » Je trouve que ce genre de lignes, parfois isolées entre des phrases très brèves et sans fioriture, freine un peu la lecture. Fort heureusement, dès que les scènes d’action commencent, le rythme s’accélère et les descriptions se font plus courtes, plus pertinentes et beaucoup plus intéressantes. Dès ce moment, on suit sans relâche les incroyables mésaventures d’Eliot et ce, jusqu’à la fin.

En conclusion, Passager vers l’enfer est un thriller innovant, tant au niveau de son décor insolite que de son intrigue étonnante. Malgré quelques phrases un peu « lourdes », l’écriture se fluidifie avec l’arrivée des premiers malheurs sur la plateforme. Grâce à cela, la lecture devient beaucoup plus agréable et rapide, jusqu’à une fin surprenante où se mêlent quelques éléments opaques, à analyser à votre convenance. Je tiens à préciser que le lecteur n’est pas laissé sans réponse, car il a ce qu’il faut pour apprécier la fin de cette incroyable aventure en mer. Je le conseille à tous ceux qui, comme moi, sont intrigués par cette idée de naufragés prisonniers d’une plateforme pétrolière.

Lien vers les chroniques sur le blog de Accros et Mordus de lecture :

Accros et mordus de lecture 

AVIS DE LECTEURS

Une réussite ! (Lionel C, Facebook)

Comme promis lors de la dédicace, je viens vous donner mon avis TRES Positif sur votre premier ouvrage. Une réussite ! J’ai lu le bouquin en 2 jours (en deux fois). Le suspense est intense et chaque fin de chapitre donne envie de connaitre le suivant, quels évènements vont se déroulés… Moi, qui suis vite découragé par les gros livres (épais), cela n’a pas été le cas grâce à une mise en page aérée et des chapitres courts. Une histoire très bien montée, je me suis posé plein de questions, ce qui met le lecteur au cœur de l’enquête… passionnante.

Rien à envier aux auteurs les plus connus ! (Isabelle, Facebook)

Un livre super ! Rien à envier aux auteurs les plus connus. J’ai adoré.

Un page-turner digne des grands maîtres américains (Le Progrès égyptien)Dans la lignée de la série Lost, Lionel Camy signe un premier roman exceptionnel à la fois survivaliste et policier. Il nous livre ici un thriller haletant, parfaitement maîtrisé sur le plan du style où les chapitres courts permettent l’évolution de l’histoire jusqu’au paroxysme final. Mêlant les codes du genre fantastique et du thriller, il signe un page-turner digne des grands maîtres américains. L’ouvrage à la hauteur des maîtres du genre (Maxime Chattam et Harlan Coben…)

Je me suis régalée ! (Carole, Rennes)

Je viens de terminer votre roman, vous m’aviez demandé de vous dire alors : je me suis régalée ! En fait, il est juste un peu trop vite lu. Bravo pour la construction narrative, quel sens du suspense et quelle imagination ! C’était chouette ! Je recommande ! (bon je passe sur les commentaires sur la Full Moon, moi j’y suis allée l’hiver passé, ben c’était quand même quelque chose à voir).

J’attends votre deuxième roman ! (Lucie, Roissy)

Comme promis, lors du Festival du Polar de Roissy en Brie, au mois d’octobre dernier, j’ai lu votre livre « Passager vers l’enfer ». Félicitations !

L’idée est originale. Le personnage principal est attachant (j’aime beaucoup certaines descriptions de ses états d’âme. L’écriture est jalonnée de phrases courtes, cela la rend fluide et directe. L’épilogue est inattendu ! Vraiment astucieux ! Une suite ? Un film ? Bonne chance pour la suite de votre carrière d’écrivain. J’attends votre deuxième roman.

Très bon livre m’a bluffé ! (Guillaume, Facebook)

Très bon livre, qui m’a bluffé ! Je vous le conseille pour les amateurs et les non amateurs du genre (comme moi).Très bien écrit, fluide et très agréable, se situe entre le roman d’aventure et le roman à suspens. J’attend avec impatience le prochain livre de Lionel Camy.

J’espère qu’il y en aura plein d’autres ! (Cécile, Rennes)

En premier, j’ai beaucoup aimé car l’histoire m’a tenue en haleine comme peuvent le faire les thrillers. J’emportais le livre avec moi le midi et pouvais en lire quelques pages, crois-moi, je ne fais pas cela avec tous ! Le fait que les chapitres étaient courts, encourage la lecture et j’ai trouvé cela très bien.

En second, j’ai bien aimé l’écriture même si au départ je l’ai trouvé un peu « scolaire » au regard des synonymes imagés ou métaphores que tu utilisais pour éviter les répétitions. La seconde partie du livre est plus dense et plus riche dans l’approche des personnages, ce qui colle bien avec le décor (seul au milieu de nulle part – au milieu de la foule des rues et de l’aéroport).

Pour ma part, dans mes lectures habituelles, les personnages sont davantage fouillés et leur émotions ou sentiments, plus recherchés mais je lis peu de romans policiers ou de thrillers. C’est peut-être ce côté qui m’a manqué dans ton livre (mais c’est le premier !), on ne connaît pas grand-chose du personnage principal et les traits de caractère de chacun ne sont pas relatés.

Voilà, en tous cas, bravo pour ce bon moment que j’ai passé, j’espère qu’il y en aura plein d’autres !

Un énorme coup de coeur (Florence, St Quay Portrieux)

Votre roman m’a intrigué dès le départ, car vous avez su éveiller ma curiosité. Ensuite, j’ai été littéralement happée par l’histoire et frappée par l’efficacité et la justesse de votre écriture. Je me suis imposée de ne pas tout lire dans la journée, juste pour avoir le plaisir de pouvoir continuer la lecture le lendemain. Un énorme coup de coeur, une lecture haletante et une très belle découverte. Merci pour ces instants riches d’émotions.

J’espère que votre second roman va bientôt suivre (Suzy, Mérignac)

J’ai vraiment apprécié votre roman. J’ai eu tout de suite le sentiment d’une présence vivante dans cette histoire. J’ai trouvé l’intrigue très bien menée et les chapitres courts qui font rebondir le suspense donnent beaucoup de rythme à la lecture. Ce qui est intéressant aussi c’est l’étrangeté du personnage de (…) qui donne à la fin du livre une couleur très particulière. Voilà en quelques mots mes impressions, j’ai aimé cette aventure, ses mystères, son dynamisme et j’espère que votre second roman va bientôt suivre. On l’attend.

J’ai adoré (Knelle, Roissy)

J’ai bien fait d’acheter « passager vers l’enfer » sur un coup de cœur au festival du polar de Roissy. Un polar efficace, surprenant et que l’on ne peut reposer qu’une fois le livre fini.

Une écriture fluide et sans falbalas inutiles qui font que l’histoire nous emporte au gré des aventures du personnage principal. J’ai adoré et j’espère qu’il y aura une suite…

Captivée du début à la fin ! (Christelle, Festival Livre & Mer de Concarneau)

Votre éditeur a fait parvenir à l’association organisatrice du festival votre livre « Passager vers l’enfer » qui nous a captivé du début à la fin ! Nous avons beaucoup apprécié la tension que vous avez installée sur cette plate-forme, les relations entre les personnages et surtout l’explication très originale que vous donnez à ce thriller.

J’ai apprécié (Véronique, Bibliothèque de Pont-Péan)

D’abord, je suis lectrice pas critique. Bon point pour toi, je l’ai lu en entier (ce qui n’est pas le cas de tous) et j’ai apprécié. Ce qui me semble positif c’est que tu n’as pas « tout » mis dedans. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire. Et tu as su rythmer l’intrigue, car tu aurais pu facilement te planter vu le lieu choisi, il ne fallait pas partir trop tôt, ni rester trop longtemps sur la plateforme. Et j’aime bien les livres qui se terminent comme le tien.

Tenue en haleine (Sandrine, Bordeaux)

Je viens de terminer ton ouvrage, j’ai passé un excellent moment. Dès les premières pages nous sommes captivés, nous n’avons pas envie de lâcher le livre. On voyage, toujours en haleine où se dégage une grande émotion et sensibilité. J’ai beaucoup apprécié la chute de l’histoire, on ne s’y attend vraiment pas.

Prévenez moi dès la sortie du prochain (Ruddy, Facebook)

J’ai terminé la lecture de votre livre et je tenais à vous féliciter car il est vraiment très bien. Le côté scenarisé avec des chapitres courts nous permet de visualiser chaque scène et c’est très intéressant. la fin m’a un peu déstabilisé mais au final je la trouve très bien également car elle nous met dans le même état d’esprit que le personnage. Quelques détails plus sombres et un peu plus « trash » dans les scènes de mort ou de « suicides » auraient permis d’accentuer le malaise de l’ambience du livre. Mais l’ensemble est très plaisant. Encore bravo. Prévenez moi lors de la sortie du prochain !!! A bientôt.

On a dévoré votre livre (Caroline & Freddy, Facebook)

En une semaine, on a dévoré votre livre. J’ai particulièrement apprécié les chapitres courts. A la fin de chaque chapitre, on a qu’une envie, c’est de savoir la suite ! La chute est étonnante. A quand la suite ?

Très content de l’avoir autant apprécié (Jean, Biarritz)

Je viens de finir votre bouquin, et je suis très content de l’avoir autant apprécié. Selon moi, mais je ne suis pas un critique littéraire, vous avez beaucoup d’imagination, vous savez informer et avez un style fluide, si bien qu’on vous suit avec plaisir. C’est pas rien, Vous devez continuer.Sur un autre plan, j’ai noté avec intérêt que vous savez des choses sur la connerie des compagnies aériennes en matière de formation des pilotes !

Une bonne lecture (Malachi, Booknode)

Une bonne lecture, l’auteur met rapidement en place l’histoire puis enfin l’action débute sans temps morts ou presque. A plusieurs reprises j’ai eu le plaisir d’être surpris par le chemin que prend le récit, pour le moins inattendu. C’est écrit à la première personne, les chapitres sont très courts (max 4/5 pages) et nous invitent à tourner les pages toujours plus.

Entre la série « Lost » et « La ligne noire » de Grangé (Muriel, responsable polars à Cultura)

Entre la série « LOST » et le livre « La ligne noire » de Jean-Christophe Grangé, ce suspense en huis-clos est intrigant et prenant, servi par une écriture fluide et rythmée. Un premier coup d’essai réussi pour Lionel Camy, jeune auteur rennais.

Un thriller en enfer (Lionel, Amazon)

Attendez-vous au dépaysement sur le thème de la survie et du thriller. Un bon premier livre au style agréable qui se lit très bien…et une intrigue qui donne envie de lire toujours un chapitre de plus…jusqu’à la révélation finale.

Note sur Amazon : ❤ ❤ ❤ ❤

Bravo pour ce bouquin ! (Jay, Facebook)

Je ne suis pas trop fan du genre thriller (voir pas du tout en fait LOL) mais là j’ai franchement bien aimé.

En fait, le genre est plutôt « survival / thriller », à la moitié du bouquin, j’étais presque un peu surpris en me disant que je ne retrouvais pas tout à fait le pitch de 4ème de couverture (on est dans le thème de la survie pas du thriller) … mais les choses se remettent en place par la suite.

Ce livre se lit vite et bien. C’est rythmé comme il se doit, et on ne s’ennuie pas une seule seconde. J’aime bien le découpage des chapitres et les rebondissements successifs. En même temps, le style est très bon, avec un vrai travail d’écriture sur les descriptions et le vocabulaire.

Sinon j’aurais aimé une description un peu plus approfondie des personnages qui les auraient rendus encore plus attachants qu’ils ne le sont déjà. Ca aurait peut-être été au détriment du rythme du récit… donc c’est plus une remarque qu’une critique.

Eliot est le personnage le plus richement détaillé, et on se prend de sympathie pour lui. Après, il est presque un peu trop parfait dans toutes les situations.

Pourquoi pas une suite avec ce même personnage, quelque part autour du monde, j’aimerais bien voyager à nouveau avec lui ?

Sinon le personnage principale aurait pu être la plate-forme, à la manière du vaisseau d’«Event Horizon » ou de la « Nef des fous » mais ça aurait été un autre livre.

J’ai adoré la toute fin du livre, j’ai trouvé ça jubilatoire. Je vais passer le bouquin autour de moi, et j’attends la suite avec impatience !

Captivé (Jean-Michel, site Babelio)

« Passager vers l’enfer  » est un très bon premier roman. L’auteur arrive parfaitement à transmettre cette atmosphère malsaine, à nous faire suivre, captivés, et témoins impuissants, les évènements qui entrainent inexorablement ces personnages maudits vers l’enfer. Je ne vous dirais rien de l’incroyable rebondissement qui vous attend au tournant des derniers chapitres.

Note sur Babelio : ❤ ❤ ❤ ❤

J’ai eu du mal à le lâcher (Monique, Saint-Nazaire)

Loin des « pavés indigestes » , moi qui ai peu de temps….j’ai lu « Passager vers l’enfer » en trois fois. J’ai eu du mal à le lâcher, à chaque chapitre l’intérêt du lecteur rebondit, jusqu’à la page finale. Excellent scénario de film !

A lire absolument (Frédéric, Facebook)

Bravo pour ce livre que j’ai dévoré, super bien écrit, vivement d’autres dans la même lignée. Un Cussler à la française.

Un premier roman réussi (Fred, Amazon)

L’auteur à le talent de garder l’intérêt des lecteurs chapitre après chapitre, sans temps mort. L’histoire est originale, dépaysante et l’intrigue rebondit vers les deux tiers du roman pour partir dans une autre direction. Quand à la fin, elle est inattendue. Pour résumer, j’ai passé un agréable moment de lecture.

Note sur Amazon : ❤ ❤ ❤ ❤ ❤

Un excellent moment de lecture ! (Christèle, Paris)

Comme convenu, je vous fais mon retour sur « Passager vers l’enfer » (eh oui je l’ai déjà terminé alors que j’ai assez peu de temps libre !). J’ai pris beaucoup de plaisir à le lire pour les raisons suivantes :

– l’histoire est prenante et on est dépaysé et accroché rapidement, avec l’envie de savoir où nous allons être menés et cela fait tourner les pages…

– j’ai particulièrement aimé le huis-clos étouffant sur la plate-forme car il mêle thriller, fantastique et psychologie des personnages. Il y a un côté « Lost » que j’ai trouvé plaisant, ayant bien accroché aux premières saisons de la série. Le fait que cela se passe au beau milieu de la mer a bien sûr contribué au plaisir, même si le milieu marin est pour le coup décrit comme terriblement hostile !

– les mini-chapitres, disposés en symétrie parfaite en début et fin du chapitrage sont un moment d’humanité et de calme dans un livre par ailleurs plutôt angoissant et nerveux

Une petite critique parce qu’il en faut aussi… :

– je vous avoue avoir eu peur du style ampoulé du prologue (et de l’épilogue du coup !). Mais cela ne dure pas : le style de l’ensemble du livre est fluide et colle bien avec le rythme

Voilà, au total un excellent moment de lecture et j’espère vivement que vous êtes déjà attelé à l’écriture d’un autre roman, que je lirai avec plaisir.

Tenue en haleine du début à la fin (Nadège, Rennes)

Moi je l’ai lu dans la journée du dimanche. Il est très bien écrit, tient le lecteur en haleine du début à la fin, et c’est bien ce qu’on attend d’un bon thriller.

J’ai dévoré ce livre ! (Chantal, Saint-Malo)

Eliot nous emmène en vacances. Et nous ne le lâchons plus ! (…) Le récit nous tient en haleine. Pour ma part, j’ai dévoré ce livre. Il se lit d’une traite ! De préférence la nuit comme tout bon thriller. (…) Les réactions humaines sont très bien observées. Le vocabulaire est riche et nous prenons plaisir à la lecture des descriptions. Et quel talent d’imagination… J’adresse toutes mes félicitations à Lionel pour son travail très élaboré ! (…) Bravo aussi à l’éditeur, M. Pascal Galodé, d’avoir su détecter et donner sa chance à ce jeune écrivain talentueux. Merci à l’un et à l’autre pour les heures de suspense passées avec Eliot sur cette plate-forme infernale…

(*) : J’ai juste enlevé les passages qui « spoilent » l’histoire, afin de ne pas gâcher la surprise.

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